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A la reconquète de la 1ère circonscription de l'Ardèche
30 mai 2007

Mes propositions dans le domaine du handicap

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Alors que les personnes handicapées représentent une part importante de la société, elles restent encore largement exclues de l’école, des mondes professionnels, culturel et sportif. Ainsi, à titre d’exemples, entre 6000 et 15 000 enfants handicapés ne font l’objet d’aucune prise en charge scolaire ; le secteur privé et le secteur public emploient 4% seulement de travailleurs handicapés alors que l’obligation d’emploi est fixée à 6%. ; Les personnes handicapées sont deux fois plus touchées par le chômage que le reste de la population active.

Les inégalités sont apparentes dans la vie quotidienne, du fait de l’absence d’équipement adapté, les personnes handicapées sont exclues de la vie sociale.

Ce constat est consternant, les personnes handicapées ainsi que les familles qui les soutiennent méritent mieux que l’exclusion.

La France

ne peut se résoudre à la situation actuelle car elle est inacceptable et intolérable.

Les propositions faites par Nicolas SARKOZY que je mettrai en place si je suis élue sont les suivantes :

Rendre opposables devant les tribunaux certains droits des personnes handicapées tels que le droit de tout enfant handicapé à être scolarisé dans l’école de son quartier ; droit de toute personne handicapée d’accéder aux transports et bâtiments publics…

Créer rapidement les places d’accueil nécessaires pour les personnes lourdement handicapées

Ouvrir des droits sociaux aux personnes qui arrêtent de travailler pour s’occuper d’une personne handicapée

Faire respecter les obligations d’insertion professionnelle des personnes handicapées

Aider les communes à s’équiper pour que les personnes handicapées profitent des loisirs offerts par elle…

Rejoignez notre combat et, ensemble, faisons en sorte que les personnes handicapées soient des citoyens à part entière.

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Commentaires
J
Chaque thème développé sur ce blog constitue une "priorité". Il n'y a donc que des priorités. Et c'est connu, la priorité est à droite. <br /> Quelle sera donc alors la "priorité des priorités"?
J
?? En attendant mes commentaires restent vrais...
J
Ségolène Royal s'exprimait ainsi lors du débat entre les deux tours des Présidentielles : <br /> «C'est votre gouvernement qui a supprimé non seulement le plan Handiscol, qui a supprimé les aides-éducateurs, qui fait qu'aujourd'hui moins d'un enfant sur deux qui était accueilli il y a cinq ans dans l'école de la République l'est encore aujourd'hui.» <br /> <br /> Le coup de colère de la candidate socialiste, qui viendrait soutenir ces jours-ci le député sortant, son "spécialiste", conseiller pour les questions de santé, s'appuie sur des faits bien erronés. <br /> <br /> - Le nombre d'enfants handicapés scolarisés a nettement augmenté en cinq ans. De 89 000 en 2002, date à laquelle Ségolène Royal a quitté le ministère de la Famille, il est passé à 160 000 aujourd'hui. <br /> <br /> - Les aides-éducateurs ont bien disparu mais ont été remplacés par des auxiliaires de vie scolaire (AVS), formés (mais peut être encore trop peu) pour accompagner des handicapés.<br /> <br /> - Le plan Handiscol de 1999, toujours mentionné sur le site du ministère, est désormais dépassé. La loi du 11 février 2005 a rendu obligatoire l'accueil des enfants handicapés dans l'école de leur quartier.<br /> <br /> Le ministre de l'Education nationale Gilles de Robien a expliqué cette affirmation comme «un coup politique malhonnête» exploitant le malheur des handicapés.<br /> <br /> Tout aussi virulent, Claude Allègre, ex-ministre de l'Education nationale de Lionel Jospin, s'est dit «outré par les mensonges» de Ségolène Royal et a confirmé qu'il «ne voterait pas» pour la candidate socialiste. <br /> <br /> Le bilan de Robien n'est pourtant pas encore parfait: il est honnète de la reconnaître. Il est vrai que Mme Royal a lancé la politique en faveur des handicapés et que la droite a suivi, puisqu'il devrait exister un accord républicain sur la question. Il est également vrai qu'il faut augmenter le nombre des AVS, à condition que les enseignants les acceptent dans leur classe, ce qui n'est pas toujours bien simple.
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